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Encore
un petit nouveau. Créneaux
arrachés, socle rongé d’époque et… beaucoup d’éléments
à refaire et à recoller.
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D’abord
dégagé le bois pourri. La lame de scie lui faisait
trop mal. Ses entrailles menaçaient d’éclater,
j’ai donc opté pour la tenaille et les râpes. Plus
je râpais et plus j’avais peur de me retrouver dans
la cour avec « peau de chagrin » à
restaurer. Ouf !! quelques centimètres avant les
murs le bois redevenait dur
.
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Les
actuelles ruines du château sont posées sur un socle
en CP. Une découpe en liège épousant la forme obtenue
après la première étape est collée dessus. Les créneaux
manquants sont ajoutés, les fissures rebouchées et
l’ensemble qui était un peu bancale est recollé à
divers endroits au pistolet à colle
.
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la première
couche d’enduit est appliquée. C’est comme pour
les autres châteaux un mélange de peinture
acrylique, d’enduit de rebouchage et de gouache
noire, le tout passé à la brosse.
Final
du troisième château. Rajout de quelques pierres( en
liège) sur la tour et autour de la porte.
-
C'est pas celui là non plus! |
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Les
toits sont d’origine, je les ai repeints à la bombe
afin d’atténuer l’aspect plastic beurk Le blason
surmontant la porte d’entrée n’a pas encore été
choisi.
-Pourquoi un Ottokar? Vous avez
déjà une voiture! -Celle
là, on n'aurait pas osé la faire! |
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